Salut mon cœur.
Ce post a failli s’appeler « De la triche », à 5 minutes près.
Cette nuit, je suis rentré de répétition juste après minuit, et j’ai tenté de publier un article sur le blog, juste pour avoir un article à la date du 4 Mai 2023. L’article aurait été vide au moment de la publication, mais j’aurais pu l’éditer et lui ajouter un contenu convenable dans les heures qui suivaient.
Avec ce titre, je t’aurais parlé du fait qu’il est possible d’éditer le contenu sur internet, après publication, et donc du fait qu’il est plus difficile de se fier aux unes et articles de journaux par exemple.
Le fait que le contenu soit édité par rapport à la publication initiale n’est pas forcément toujours indiqué.
Il m’aurait été possible également de modifier l’heure du serveur, afin de tout de même avoir un article à poster le 4 Mai. Cela aurait été une autre forme de triche (et techniquement, je suis pas sûr d’avoir accès à ce serveur de cette manière, mais dans l’absolu, c’est faisable).
Malheureusement, le temps que j’arrive, on était déjà le 5.
C’est donc un échec. J’ai échoué à poster un article qui apporte de la valeur tous les jours.
Depuis quelques jours je me posais déjà la question par rapport à la fréquence de mes articles.
En m’obligeant à poster quotidiennement, certes je produis du contenu, mais d’un autre côté, je ne prends pas nécessairement le temps que je souhaiterais passer à rédiger ce contenu.
Est-ce que la qualité est à la hauteur de mes ambitions ?
Je m’applique tout de même, j’essaie d’être le plus authentique tout en espérant transmettre de la connaissance, ou des leçons à pouvoir tirer de mes expériences.
Quoiqu’il en soit, j’ai échoué à mon engagement lors de ma troisième semaine de publications.
Je me suis mal organisé lors de ce jeudi, et je n’ai pas pris le temps d’écrire et publier l’article.
Ce n’est pas mon premier échec, ce n’est probablement pas le dernier.
Durant cette période, j’ai également échoué à un challenge qui m’avait été lancé par un Youtubeur.
Pas lancé personnellement, mais j’avais regardé une vidéo de Hamza dans laquelle il parlait de création de contenu et mettait au défi le spectateur de créer et poster une vidéo youtube dans les 24 heures.
J’ai tenté le coup et le jeu. Je me suis mis devant ma webcam et j’ai essayé d’enregistrer une vidéo, basée sur le contenu d’un de mes articles (l’article sur les ressentis).
Je ne me suis pas senti à l’aise. Le sujet était peut-être trop vaste, trop personnel.
Cela m’a été difficile de me mettre en scène, en jeu, face caméra, en train de parler de mes luttes intimes et de ce que j’en avais tiré.
L’expérience reste intéressante, et, depuis, j’ai tout de même une notification d’alarme qui me rappelle que j’ai une vidéo à faire et publier.
Je n’ai pas agi dessus pour l’instant. Mais ça reste dans les « trucs à faire ».
Comme souvent, je dois m’approprier l’idée, qu’elle fasse pleinement sens au sein de ma stratégie personnelle, de l’exécution de mes plans.
Aujourd’hui, j’ai également échoué à un autre défi plus personnel.
Je souhaitais enregistrer une chanson et la publier aujourd’hui, avant la pleine lune.
La pleine lune est dans à peine deux heures, et j’ai besoin de faire la sieste.
Ce soir je donne un concert et je vais avoir besoin de cette énergie.
En écrivant ces lignes, je me dis que c’est quand même bête d’abandonner et de baisser les bras de la sorte.
Certes, j’ai échoué à l’idée originale d’enregistrer une chanson « en studio ».
Mais dans la mesure où je donne un concert ce soir, et que je vais l’enregistrer comme la plupart de mes performances lives, j’aurais tout de même une version « en concert » en rentrant.
En terme de planning, ça sera après la pleine lune, quoiqu’il en soit.
C’est un échec, mais également, je rebondis, j’adapte mes plans.
L’essentiel, à terme, étant d’avoir une chanson à publier, non ?
Edit: Échec à nouveau… Nouveau plan, etc…
Des échecs donc.
« Je ne suis pas découragé car tout nouvel échec constitue un pas de plus vers la victoire. »
Thomas Edison, créateur de l’ampoule électrique
Je ne sais pas si cette citation est effectivement d’Edison ou pas.
En tout cas, la maxime s’applique plutôt bien à ce que j’essaie de raconter aujourd’hui.
J’essaie de voir « mes échecs » comme des plateformes sur lesquelles m’appuyer et continuer à avancer et construire.
Il y aura d’autres échecs, et d’autres victoires.
A demain mon cœur.
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