En France, en toutes circonstances,
La démence prend précédence
Sur la conscience, de toute évidence
Sans importance ce que l’on pense
En arrogance, les éminences
Nous balancent leur inconsistance
Avec confiance et insolence
En impudence, sans bon sens
Dans l’indifférence à la décence.
Mon silence comme accoutumance,
Ma latence comme défaillance
En dissonance avec mon innocence.
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Insignifiance de la souffrance
Toute défiance devient offense
Ainsi commence la déchéance
La fulgurance de l’espérance
Ensemence l’obédience
A la science en pleine déviance.
Et on encense les manigances
Proéminence des appétences
Conséquences de l’incompétence.
En l’absence d’intelligence
L’excellence vire en purulence
Inadvertance de la connaissance.
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Quand ma patience tire sa révérence
Mon expérience se fait violence
J’ai tendance à la virulence
La subsistance de ma méfiance
Comme assistance à ma distance
Désobligeance de mon éloquence.
Mes turbulences me relancent
La pestilences des apparences
Comme récompense à ce que je dispense
Alors je compense mes errances
Dans l’émergence de la résilience
Influence de ma dissidence.
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Quand ma puissance prend naissance
Dans la bienveillance de l’essence
Mon existence se fait immense.
Et quelle chance, en transparence
Les fragrances deviennent plus intenses
Des références à l’abondance
Dans la jouissance de l’impermanence
Sans urgence mes croyances
Donnent prestance à mes différences
Magnificence de l’immanence
La persistance de ma présence
Telle une transe en pleine danse
